Ateliers vision 2030 du 13 oct 2012
Comment aimerions-nous voir Auch en 2030 ?
Nos premiers pas vers la transition …
Le 13 octobre dernier, lors d’ateliers participatifs où chacun a pu échanger sur leur vision d’Auch en 2030, nous avons amorcé la création de groupes thématiques. En lien avec le manuel de transition, les participants ont lancé des premières idées, rêves ou souhaits sur :
L‘ECONOMIE : insistance sur la notion de proximité, production locale, consommation locale, livraison en un point donné des commandes, gratuité de l’eau, du logement, collectivisation des terres et des instruments de production, prélèvements gratuits de chacun sur les productions agricoles, réflexion sur la notion de travail.
L’HABITAT : développement urbain non étalé, une vision de la ville de type « hameaux », relocalisation et proximité des commerces et artisans, des services publics, accessibilité de la terre cultivable, accessibilité de la ville pour tous, accessibilité à la culture, réflexion sur la distance lieu de travail/lieu de vie, habitat regroupé, type de logement entre l’individuel et le collectif, modulables, avec des fonctions et des espaces partagés, « végétalisation » de la ville, notion de permaculture en milieu urbain, éco-construction, importance du citoyen au cœur des décisions, importance du lien entre les habitants, de la mixité sociale et intergénérationnelle.
L’AGRICULTURE : une agriculture sans produits chimiques, moins mécanisée, avec plus de monde dans les champs, plus écologique (dépollution des fonds de vallée pour y introduire une agriculture vivrière), avec plus de biodiversité (haies, forêts…), développement de l’agriculture biologique, une meilleur organisation et gestion de la production agricole (moins de travail, indépendante et locale, une meilleure répartition des terres), une agriculture conviviale et solidaire, avec des tailles de fermes à échelle humaine, complémentaires et une répartition territoriale selon les types de production, développement des subventions et soutiens en maraîchage et arboriculture, développement du transport fluvial des productions agricoles en lien avec le transport de la population, développement des modes de distribution de type AMAP, magasins de producteurs, développement d’espaces agricoles en ville (jardins collectifs, espaces publics…), sensibilisation en zone urbaine à l’agriculture et appropriation des espaces par les habitants.
L’ALIMENTATION : changement de nos modes d’alimentation (plus de céréales, moins de viandes), manger moins mais plus efficace, définir des rations alimentaires et en déduire ce que l’on doit produire, éducation à l’alimentation, changer nos pratiques alimentaires, une nourriture pour tous, 100% saine, pour la terre et ses habitants.
LES TRANSPORTS : diminuer les besoins par la relocalisation de notre vie et de nos activités, par la réduction du temps de travail, par la dynamisation de nos lieux de vie (centre-villes, villages, campagnes), repenser les modes de transport par rapport aux besoins de déplacement (lien transport/habitat, suivant le nombre de kilomètres parcourus, à pied, vélo, pedibus et velobus, bus, train), développer la multimodalité, développer l’accessibilité et la sécurité, créer et restaurer les axes de transport alternatifs (chemin de fer, transport fluvial, chemins piétons) permettant de rejoindre les chef lieux de cantons (entretien collectif par les usagers), réhabiliter des chemins de halage, développer et optimiser les transports de marchandises, rendre flexible et gratuit les transports publics, réfléchir à notre vitesse et notre rapport au temps.
L’ENERGIE : diversité des types de constructions (bioclimatique, habitat à économie d’énergie, énergie positive), diversité des choix dans la production d’énergie (solaire, éolien, biomasse…), production sur place de l’énergie que l’on consomme, rapprochement du consommateur et de l’énergie, mode d’utilisation de l’énergie …
Le 13 octobre dernier, lors d’ateliers participatifs où chacun a pu échanger sur leur vision d’Auch en 2030, nous avons amorcé la création de groupes thématiques. En lien avec le manuel de transition, les participants ont lancé des premières idées, rêves ou souhaits sur :
– L‘économie : insistance sur la notion de proximité, production locale, consommation locale, livraison en un point donné des commandes, gratuité de l’eau, du logement, collectivisation des terres et des instruments de production, prélèvements gratuits de chacun sur les productions agricoles, la notion de travail
.– L’habitat : le développement urbain (non étalé et une vision de type « hameaux »), la relocalisation et la proximité des commerces et artisans, des services publics, l’accessibilité de la terre cultivable, l’accessibilité de la ville pour tous, l’accessibilité à la culture, la distance lieu de travail/de vie, l’habitat regroupé, le type de logement (entre l’individuel et le collectif, modulables, avec des fonctions et des partagés), la « végétalisation » de la ville, la permaculture en milieu urbain, l’éco-construction, l’importance du citoyen au cœur des décisions, l’importance du lien entre les habitants, de la mixité sociale et intergénérationnelle.
– L’agriculture : développement d’une agriculture sans produits chimiques, moins mécanisée, avec plus de monde dans les champs, plus écologique (dépollution des fonds de vallée pour y introduire une agriculture vivrière), avec plus de biodiversité (haies, forêts…), développement de l’agriculture biologique, une meilleur organisation et gestion la production agricole (moins de travail, indépendante et locale, une meilleure répartition des terres), une agriculture conviviale et solidaire, avec des tailles de fermes à échelle humaine, complémentaires et une répartition territoriale selon les types de production, développement des subventions et soutiens en maraîchage et arboriculture, développement du transport fluvial des productions agricoles en lien avec le transport de la population, développement des modes de distribution de type AMAP, magasins de producteurs, développement d’espaces agricoles en ville (jardins collectifs, espaces publics…), sensibilisation en zone urbaine à l’agriculture et appropriation des espaces par les habitants.
– L’alimentation : le changement de nos modes d’alimentation (plus de céréales, moins de viandes), manger moins mais plus efficace, définir des rations alimentaires et en déduire ce que l’on doit produire, éducation à l’alimentation, changer nos pratiques alimentaires, la nourriture pour tous, 100% saine, pour la terre et ses habitants.
– Les transports : diminuer les besoins par la relocalisation de notre vie et de nos activités, par la réduction du temps de travail, par la dynamisation de nos lieux de vie (centre-villes, villages, campagnes), repenser les modes de transport par rapport aux besoins de déplacement (lien transport/habitat, suivant le nombre de kilomètres parcourus, à pied, vélo, pedibus et velobus, bus, train), développer la multimodalité, développer l’accessibilité et la sécurité, créer et restaurer les axes de transport alternatifs (chemin de fer, transport fluvial, chemins piétons) permettant de rejoindre les chef lieux de cantons (entretien collectif par les usagers), réhabiliter des chemins de halage, développer et optimiser les transports de marchandises, rendre flexible et gratuit les transports publics, réfléchir à notre vitesse et notre rapport au temps.
– L’énergie : les types de constructions (bioclimatique, habitat à économie d’énergie, énergie positive), les choix de productions diverses (solaire, éolien, biomasse…), la production sur place l’énergie que l’on consomme, le rapprochement du consommateur et de l’énergie, l’utilisation de l’énergie …